Ecole polytechnique :

l'embarras du choix

La probabilité que deux polytechniciens aient eu pendant leur trois années de scolarité à l'Ecole polytechnique les mêmes activités est infime.

Entre autres choses, j'ai dû choisir à Palaiseau (à peu près dans cet ordre) :

- une arme : les Transmissions (armée de Terre)
- une filière : F3 Etat-Major
- un régiment : le 42ème RT d'Achern
- une section sportive : volley-ball
- deux langues : anglais / allemand
- des binets (activités libres) : MusicaliX, CCX
- des cours d'humanités : histoire de l'art, épistémologie, histoire des techniques, art contemporain, penser le XXème siècle
- une voie : (A) sciences expérimentales
- une sous-voie : biologie de l'oxygène
- un module expérimental : chimie organique
- un stage ouvrier : employé libre-service chez Auchan Le Mans
- une majeure 1 : chimie
- une mineure 1 : modélisation moléculaire
- une majeure 2 : informatique
- des mineures 2 : algorithmique, calcul parallèle, programmation logique par contraintes
- un stage d'option : RMN des protéines à Madison
- une formation complémentaire : la formation recherche
- un laboratoire de DEA : L'IBS/LRMN de Grenoble
- un DEA : Biologie Structurale et Fonctionnelle (UJF-Grenoble)

Chaque choix oblige à renoncer aux autres options, tout aussi intéressantes les unes que les autres...

Mais n'oublions pas que l'exercice du choix est aussi une chance.
D'autres n'ont pas toujours cette possibilité et les choix qui les concernent ont parfois été faits à leur place. Sont-ils enviables ?


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